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THIS IS WHERE I FIND MYSELF

by Paul Rogers

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1.
Happening 06:10
2.
Existing 11:05
3.
Living 05:21
4.
Flexible 24:01
5.
Now 27:20

about

Solo 7 string acoustic bass with 14 sympathetic strings


I borrowed a small digital recording machine and over two months I recorded most days. Then spent a longer time listening to find these tracks .
I try to play music with a purpose and experience the process .
I don't think there has to be a goal. I try to let my heart , mind and soul be open.
It's got nothing to do with what instrument you use, it's the spirit you put into the music.
THIS MUSIC IS FOR EVERYONE, PLAY IT LOUD !!!!

credits

released May 7, 2021

Happening, Existing, Living recorded on the 13th may 2020
Flexible recorded on the 7th may 2020
Now recorded on the 21st april 2020

photography by Gérard Boisnel

mixing and mastering by Olaf Rupp

STRINGS MADE BY
THOMAS INFELD
VIENNA



"Grâce au guitariste Olaf Rupp, nous avons des nouvelles du contrebassiste Paul Rogers, sans doute un des spécialistes du gros violon parmi les plus doués de la scène free européenne.
Cela fait une vingtaine d’années que Rogers a adopté une contrebasse sept cordes avec quatorze cordes sympathiques, un instrument plus petit qui fait aussi songer à un violoncelle ou à une viole gambe, les cordes sympathiques ayant la propriété de renforcer et de colorer la sonorité, surtout à l’archet. Ce This is Where I Find Myself est un extraordinaire tour de force joué entièrement à l’archet par ce contrebassiste entendu fréquemment avec Elton Dean, Keith Tippett,Tony Levin et Paul Rutherford, quatre géants disparus. Son nom est associé à Paul Dunmall et Mark Sanders dans le superbe trio Deep Whole dont Multikulti a publié un autre magnifique album, Paradise Walk que je n’ai pu chroniquer ici faute d’avoir pu mettre la main sur une copie avant la semaine dernière. Il faut aussi rappeler son album solo Listen pour Emanem avec une contrebasse « normale », un autre solo pour Amor Fati (Being) et ce fabuleux Open Paper Tree avec Michel Doneda et Lê Quan Ninh pour FMP. Depuis qu’il a adopté cette contrebasse à six cordes qu’il habite en France et que ses vieux camarades sont décédés, le nom de Paul Rogers ne surgit plus dans les catalogues de disques dédiés à cette musique. Tout au plus No Business avait publié un double cd avec Dunmall, Dean et Levin (Remembrance) et on l’entend encore dans quelques albums de Paul Dunmall ou un digital only en compagnie de la tromboniste Sarah Gail Brand. Ah oui !! Avec Olaf Rupp et Frank Paul Schubert, Three Stories About Rain Sunlight and the Hidden Soil pour Relative Pitch. Que se passe-t-il ? Je crois bien que ces labels « importants » qui publient à tour de bras devraient solliciter Paul Rogers autant que Barry Guy ou Joëlle Léandre. D’abord , disons-le franchement : avec cette bonne vieille quatre cordes à mains nues sans électricité, il n’y pas photo : Paul est un contrebassiste avec une puissance rare, c’à-d la projection du son la plus forte. Son pizzicato est simplement monumental comme celui de Buschi Niebergall naguère, ou aujourd’hui, son compatriote John Edwards. Ici à l’archet avec sa contrebasse prototype, il accomplit des prouesses faisant sonner le plus souvent deux ou trois cordes à la fois avec une technique d’archet hallucinante, avec laquelle il lui arrive de jouer à plusieurs voix. Formellement sa musique est plus conventionnelle, construite et basée sur des structures d’accords ouverts, dans une manière qu’on pourrait qualifier de « folklore imaginaire» ou peut – être « postclassique ». Comme il l’explique lui-même , il n’y a pas de « but » dans sa démarche, si ce n’est de faire sonner son instrument et de jouer… l’impossible. Mais, je demande où a-t-on entendu tournoyer des sonorités de la sorte et créer cette dimension polyphonique. Après trois mises en bouche pour acclimater l’auditeur : Happening (6:10), Existing (11:05) et Living (5:21), il nous livre toute la gomme de son imagination et de son savoir-faire dans deux compositions – voyages de longue haleine : Flexible (24:02) et Now (27:21). Il s’agit alors de sagas imprévisibles, de fuites en avant, de débordements des sons, de recherches mélodiques hallucinantes, de glissandi sans solution de fin, de la vocalité inhérente aux cordes frottées, de percussivité de l’archet, de cadences infernales… avec un contrôle de l’instrument qui vous laisse abasourdi, pantois. On sait que des âmes bien – pensantes ou « subversives » vont dire que c’est trop virtuose pour être vrai, trop « idiomatique » ou que sais-je. Mais trêve de conneries, laissons-nous emporter par son rêve qui débouche sur une réalité vécue, ressentie, inspirée… GÉANT !!"
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Olaf Rupp Berlin, Germany

Olaf Rupp
Improvised Music acoustic and electric guitar

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